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mercredi 31 août 2016

Les chiens comprennent vraiment ce que vous leur dites !

Les chiens comprennent vraiment ce que vous leur dites !

Ce n’est pas pour rien qu’on dit que le chien est le meilleur ami de l’homme. En plus de vous aimer plus que tout au monde, il comprend vraiment ce que vous lui dites ! Explications.


Encore une victoire pour la team canine ! Après qu’on ait appris que les gens aimant les chats seraient plus déprimés que les adorateurs de chiens, une nouvelle étude révèle que votre petite boule de poil comprend vraiment ce que vous lui dites. Avec les mots et pas les gouzis gouzis tout mielleux. La revue américaine Science s’est penchée sur le sujet et a révélé lundi 29 août qu’à l’image des hommes, les chiens réagissent aux mots et aux intonations utilisées lorsqu’on leur parle. Non non, ce n’était pas une illusion Pato, Bambou et les autres Yoko s’intéressent réellement lorsque vous leur racontez votre vie !


Angels Among Us Pet Rescue, refuge, chiens, kala, keira, sauver, euthanasie, mort, tués, maître, abandon Et ils vous aiment quand même ! Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont passé au scanner le cerveau de treize chiens pendant qu’ils leur demandaient de se coucher en restant immobiles. Ils ont alors constater qu’à l’image des hommes, les mots étaient déchiffrés à l’aide de leur hémisphère gauche tandis que les intonations étaient analysées à l’aide de certaines des parties de l’hémisphère droit. Cette étude est non seulement une vraie avancée pour la communication homme chien, mais ouvre de grandes perspectives, et s’ils n’étaient pas les seuls animaux à avoir ce même fonctionnement humain de leur cerveau ? Une autre question tout aussi importante se pose également : ce chien élu pour un 3e mandat de maire dans le Minnesota réalise-t-il qu’il « gère » toute une ville.

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mardi 30 août 2016

Un étudiant sri-lankais pirate le site du président pour repousser un examen

Un étudiant sri-lankais pirate le site du président pour repousser un examen

Un étudiant sri lankais n'a pas hésité à pirater le site du président de son pays afin de repousser un examen de fin d 'année. Une action pas anodine...



Cet adolescent était manifestement prêt à tout pour repousser l'examen de fin d'année comme ces étudiants prêts à tout pour tricher à leur test ! En effet, le jeune homme de 17 ans a été arrêté au Sri Lanka pour avoir... hacké le site du président Maithripala Sirisena en fin de semaine dernière nous apprend la BBC ! Sur le site en question, un message demande carrément le report du GCE Advanced Level (la version sri lankaise du baccalauréat) devant se tenir en avril prochain. Une période qui tombe très mal en raison du nouvel an des communautés tamoules et cingalaises, très nombreuses dans le pays. Risquant trois ans de prison et 300 000 roupies sri lankaises d'amende (environ 1800 euros), le jeune étudiant risque gros.

Mais son piratage, qui peut aussi toucher le créateur de Facebook Mark Zuckerberg, ne s'est pas arrêté là ! Le message adressé au président, demande aussi une vraie élection présidentielle, conseille de “faire attention à la sécurité des sites sri lankais, au risque de… faire face à une cyberguerre” ou encore de faire “arrêter le travail irresponsable du Premier ministre et de se concentrer un peu plus sur les problèmes des étudiants. Le jeune homme ferait partie d'un groupe appelé "Sri Lankan Youth" et serait le premier adolescent arrêté en vertu de la loi contre les crimes en ligne de 2007.

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lundi 29 août 2016

Une bague connectée pour régler ses achats

Une bague connectée pour régler ses achats

L’entreprise américaine Visa a annoncé le lancement d’une bague connectée pour régler ses achats sans contact, apprend-t-on sur le site web du magazine LSA.


Testée auprès des athlètes pendant les Jeux Olympiques de Rio, la bague connectée développée par Visa fonctionne avec la technologie NFC. A l’image des bracelets connectés « cashless », utilisés dans de nombreux festivals de musique, « elle permet de payer un achat en apposant simplement son doigt sur un terminal de paiement équipé du NFC », peut-on lire sur lsa-conso.fr. Le site web du magazine conso précise que l’objet marche « sans batterie et ne nécessite donc aucune recharge ».
Côté sécurité, Visa a tenu a rassurer les observateurs et le public : « les données bancaires de l’utilisateur ne font pas l’objet d’échanges lors du paiement », explique LSA.


L’article rapporte certaines lignes du communiqué publié par le spécialiste du paiement : on y apprend ainsi que la bague " remplace les informations de paiements sensibles, telles que le numéro de compte à 16 chiffres, par un identifiant numérique unique qui peut être utilisé pour effectuer des paiements sans avoir à dévoiler les détails du compte réel"

La bague connectée pour le paiement est disponible en précommande.



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dimanche 28 août 2016

La Poste suisse teste des robots facteurs pour livrer ses clients

La Poste suisse teste des robots facteurs pour livrer ses clients

Ces tests emploient des véhicules robotisés du constructeur estonien Starship Technologies transportant une charge utile allant jusqu’à dix kilogrammes sur environ six kilomètres.
En Suisse, des robots "autonomes" livreront à la demande, dès septembre 2016, des colis dans plusieurs villes. Officiellement, leur usage complète la distribution du courrier par les facteurs, qui n'est pas menacée.



Les nouveaux facteurs suisses ont six roues et des caméras pour se guider sur la voirie. À partir de septembre 2016, la Poste helvétique testera l’utilisation de robots de livraison circulant sur les trottoirs et dans les zones piétonnes. Leur navigation repose sur la géolocalisation et la reconnaissance visuelle de leur environnement immédiat au moyen de caméras. Les tests seront menés à Berne et dans deux plus petites communes, Köniz, situé dans l'agglomération de la capitale suisse, et Biberist, une bourgade du canton de Soleure.

Ces véhicules-robots ont été conçus par Starship Technologies, une start up créée par deux anciens de Skype (cf encadré ci-dessous). Ils sont capables de transporter jusqu’à dix kilogrammes sur environ six kilomètres, ce qui les destine aux livraisons de courte distance en zone urbaine. Dans des zones difficiles ou en cas d’incertitudes sur la voirie, un opérateur humain peut reprendre la main afin de piloter à distance le robot.

Le client prévenu de l'arrivée du robot via son smartphone

Lorsqu'il arrivera à proximité de son lieu de livraison, le robot enverra une alerte sur le smartphone du client qui viendra récupérer son colis au pied de son habitation. Pour ce faire, il n'aura plus qu'à ouvrir le coffre du robot avec un code unique reçu parallèlement.
Officiellement, il s'agit d'un mode de distribution destiné à compléter ponctuellement la distribution des colis à l’avenir. La Poste suisse entrevoit l'utilisation de ses robots, non pour la distribution de courrier classique mais pour les envois spéciaux devant être livrés à domicile de façon rapide comme des produits alimentaires ou médicaux.

"Cette logistique sur le dernier kilomètre n’étant actuellement pas couverte par les facteurs, les robots de livraison pourraient représenter une extension judicieuse de la chaîne logistique de la Poste" estime l'entreprise suisse. En fonction des résultats des tests, elle mise sur de premières utilisations commerciales d'ici 2019, au plus tôt.


Pour justifier son expérimentation, la Poste suisse évoque la concurrence des géants américains de l'e-commerce sur les services de logistique au premier rang desquels figure Amazon. "Cette situation entraîne une pression croissante sur les marges et sur la structure des coûts. Une telle évolution contraint les logisticiens de colis classiques à se montrer toujours plus efficaces et à examiner des méthodes de livraison alternatives, comme les drones et les robots de livraison" explique la Poste helvétique.

Outre les robots de livraison, l'entreprise postale a testé, comme sa consoeur française, les drones. Leur autonomie et leur vitesse, offrent aux postiers des avantages en matière d’envois prioritaires ou de livraison dans des zones reculées. En raison de leurs atouts respectifs, la Poste suisse envisage de combiner ces deux technologies avec des applications concrètes dans trois à cinq ans.

jeudi 25 août 2016

Domino's Pizza va livrer ses commandes par drone

Domino's Pizza va livrer ses commandes par drone

Domino's Pizza teste la livraison par drone en Nouvelle-Zélande - Domino's Pizza


Se faire livrer une pizza par drone ce sera bientôt possible. Enfin, dans un premier temps en Nouvelle-Zélande, où la célèbre chaîne de fast food Domino’s Pizza teste en collaboration avec Flirtey, une start-up spécialisée dans le service de livraison par drone, cette nouvelle méthode de transport dans la capitale, Auckland. "Nous avons toujours dit que cela n’avait pas de sens d’avoir une machine de 2 tonnes pour livrer une commande de 2 kilos", souligne le patron de Domino’s Pizza, Don Meij.

Ce mode de livraison, qui, à terme, devrait concerner la France et cinq autres pays (Allemagne, Australie, Belgique, Japon, Pays-Bas) sera d'abord limités aux clients situés dans un rayon de 750 mètres autour des restaurants participants. À terme, l'enseigne ambitionne d'avoir la première "flotte" de drones commerciales de livraison au monde. Elle envisagent aussi d'étendre les livraisons dans un rayon de 10 km pour des produits de taille et de poids plus importants.

Domino's Pizza teste aussi la livraison par robot à roulette

Les livraisons de drones seront légales en Australie le mois prochain, à condition qu'ils restent au moins à 30 mètres des habitations, et aux Etats-Unis, sous certaines conditions à partir du 29 Août. En France, la réglementation ne permet toujours pas la livraison de colis par drones. La Poste s'est lancée la première sur ce modèle de livraison en testant ces propres drones sur une "ligne expérimentale" de 14 kilomètres entre le Ceema et le village de Saint-Maximin dans le Var.
Domino’s Pizza n’en est pas à son coup d’essai puisque le groupe avait déjà lancé en mars dernier un robot autonome sur roulette, qui se rend tout seul du magasin au domicile du client.

mercredi 24 août 2016

Potiner au bureau est une activité d'utilité publique!

Potiner au bureau est une activité d'utilité publique!

Les potins et ceux qui les rapportent sont généralement mal vus, en particulier au bureau. Pourtant nombre d'études montrent que l'échange de ragots entre collègues a une vraie fonction sociale et plein d'autres vertus.


"L’infâme commère", "l’odieux colporteur de ragots". Au bureau, il est de bon ton de dire qu’on déteste les cancans, et ceux qui les rapportent. Et pourtant, ils sont bourrés de vertus! De nombreux scientifiques se sont penchés sur la question. Unanimement, ils concluent que les potins font un bien fou aux collaborateurs et à l’entreprise.

Des chercheurs de l'université de Berkeley ont ainsi montré que potiner réduit le stress. Évoquer des rumeurs permet d’extérioriser vos peurs, vos doutes, votre colère. Lorsque vous êtes confrontés à une situation qui vous gêne, par exemple vous surprenez deux collègues en plein rapprochement dans un couloir, votre rythme cardiaque augmente. Mais raconter ce que vous avez vu va le faire baisser. En fait, partager le récit de cette situation qui vous a mis mal à l'aise revient à agir, donc à arrêter de subir ladite situation. Ce qui explique pourquoi les contextes incertains -un rachat, un déménagement, un plan social- favorisent les cancans.

La même fonction que l'épouillage chez les singes

En outre, partager nos infos remplit une fonction fédératrice. Pour des chercheurs de l'université d'Oxford, potiner est la version humaine de l’épouillage chez les singes. Rire en douce du look de Raymond provoque chez nous les mêmes effets que se fouiller le crâne chez les bonobos: on produit de l’endorphine, on se sent plus proches les uns des autres, et la confiance entre membres de l'équipe se renforce.

Sauf, vous dites-vous, pour celui qui est la cible des potins. Certes, mais qu'il se réjouisse. Il semble qu'être dénigré lui évite de se faire étrangler à la cafeteria. La psychologue allemande Christiane Gelitz a fait le test. Elle a confronté 300 personnes à une seule qui les provoquait. Grosso modo, les hommes ont réagi en lui tapant dessus, les femmes par de la médisance envers elle. Conclusion de la psychologue: le dénigrement semble constituer un excellent substitut à la violence physique.

Le manager, cible et maître de la rumeur

L'exercice est d'autant plus fédérateur pour l'équipe que la cible favorite des ragots, c’est le manager. Un peu comme dans les magazines, les scoops sur les plus grosses stars valent de l’or. Mais il peut en tirer profit. Dans “Orchestrer la rumeur”, Laurent Gaildraud explique qu'il peut alimenter lui-même radio-cancan à son profit. Pour faire passer un message, ou pour tester l’opinion sur des mesures qu’il juge risquées ou impopulaires.

Pour finir, petite mise au point. Les mots "commère" et "concierge" ont beau être féminins, il semblerait que les hommes soient davantage friands de potins que leurs consœurs. 55% de répondants masculins d'un sondage du Bristish Market Research admettaient s'adonner intensément aux commérages, contre seulement 46% des femmes. Leurs thèmes de prédilection : le physique des femmes qui les entourent, suivi des salaires des uns, et des promotions des autres.

mardi 23 août 2016

Une crème solaire senteur "poulet frit"... Et puis quoi encore ?

Une crème solaire senteur "poulet frit"... Et puis quoi encore ?

Vous voulez vous protégez du soleil tout en sentant le poulet frit ? C'est désormais possible grâce à une crème solaire KFC. Accrochez vos ceintures...



On vous parlait récemment de l'opération marketing Burger King avec un désodorisant voitures senteur Whopper, votre peau pourra désormais sentir le poulet frit grâce à KFC. La chaîne de fast-food a mis à disposition la crème solaire poulet frit pour éviter de frire à notre tour sous le soleil. Sans doute destinée à tous ceux qui en ont marre de la même odeur de crème solaire ou ceux qui ont envie de sentir le poulet frit sans en manger. Une campagne publicitaire complètement WTF à voir ci-dessous.

Une envie de crème solaire senteur poulet frit ?

Evidemment, le produit était en édition limitée, histoire de faire encore plus parler de l'opération marketing. Tous les fans de l'odeur "poulet frit" se sont immédiatement jetés sur l'occasion via le site suivant, et c'est depuis en rupture de stock. Un produit qui nous rappelle le vernis comestible senteur poulet frit précédemment mis en avant par la marque



lundi 22 août 2016

JO 2016: que versent la France et les autres pays à leurs médaillés?

JO 2016: que versent la France et les autres pays à leurs médaillés?

Les pays les plus généreux avec leurs champions olympiques ne sont pas forcément ceux auxquels on pourrait penser. La France est plutôt dans la moyenne. L'État va leur verser, au total, un peu plus de 1 million d'euros.



Maintenant que les Jeux Olympiques de Rio sont terminés, c’est l’heure des comptes. Les athlètes rentrent dans leur pays respectif. Et la plupart de ceux qui ont reviennent avec une médaille seront le plus souvent récompensés financièrement par leur pays. Chaque État a ses traditions en la matière. L’Algérie, par exemple, octroie à ses champions olympiques des avantages en nature tels qu’un appartement et une voiture, mais la plupart des pays préfère verser une "prime" à leurs médaillés.
Le quintuplé médaillé américain des épreuves de natation Michael Phelps percevra ainsi 22.000 euros par médaille d’or tandis que le vainqueur singapourien du 100 mètres papillon Joseph Schooling, qui a remporté la seule médaille de son pays, va se voir remettre 667.800 euros.

En revanche, les athlètes britanniques, en dépit de leur deuxième place au palmarès des médailles (dont 27 en or) n'ont droit à rien, sur le plan financier. Interrogé à ce sujet lors des Jeux de Londres, le porte-parole du Comité olympique britannique expliquait au Daily Telegraph que "les récompenses financières n’impactent pas significativement la motivation des athlètes pour atteindre le podium olympique".

Les primes des médaillés français soumises à l’impôt

En France, le ministère de la Jeunesse et des Sports accorde un joli chèque aux médaillés par l'intermédiaire du Centre national pour le développement du sport (CNDS). Quelle que soit leur discipline, les champions touchent une prime de 50.000 euros pour l’or, 22.000 euros pour l’argent et 13.000 euros pour le bronze.

Au total, pour ces JO, il en coûtera donc à l'État un peu plus de 1 million d'euros dont la moitié reviendra au 10 athlètes qui ont fait retentir la Marseillalse à Rio. Un geste plus que symbolique pour ces sportifs reçus mardi 23 août à 18h00 à l'Élysée. Pour la plupart, ces derniers sont loin de mener grand train.

Près de la moitié des Français sélectionnés pour les Jeux Olympiques de Rio gagnent moins de 500 euros par mois, selon Paris Match. De plus, depuis 2011, ces revenus sont soumis à l'impôt. Toutefois, les champions bénéficient d’un dispositif fiscal avantageux. Ils peuvent échelonner leur(s) prime(s) sur quatre ans.

dimanche 21 août 2016

L'incroyable taxi volant du futur d'Airbus

L'incroyable taxi volant du futur d'Airbus


Le CityAirbus pourra transporter plusieurs passagers

Pour faire face aux bouchons lors des heures de pointe dans les grandes villes, Airbus Helicopters travaille sur un concept de taxi volant autonome. Son nom: CityAirbus.


Plus de 25 milliards d'euros. Voilà ce que coûteront, chaque année, les bouchons en France d'ici à 2030 selon une étude rédigée par le Center for Economics & Business Research datant de 2014. Pour le Royaume-Uni, la facture devrait même monter à 29 milliards d'euros.

En effet, de plus en plus de personnes vont vivre en ville. D'ici à 2030, 60% de la population mondiale sera urbaine, soit 10% de plus qu'à l'heure actuelle. Ce qui évidemment pose d'importants problèmes en termes de transports.

Partant de ce constat, Airbus a décidé de lancer plusieurs projets pour désengorger le trafic lors des heures de pointe. L'avionneur entend ainsi développer des modes de transports urbains pour le moins…futuristes.

Airbus - Une vision de la ville du futur selon Airbus 

Vahana et CityAirbus

Le groupe a levé le voile sur ses projets, débutés pour certains il y a deux ans, dans son magazine interne Forum, il y a quelques jours. L'un d'entre eux baptisé "Vahana", consiste en la création d'un véhicule autonome volant, devant transporter du fret ou un seul passager. Airbus compte tester les premiers prototypes d'ici la fin 2017.

L'avionneur considère cette initiative comme "réalisable", même s'il manque encore un rouage essentiel: une technologie permettant de détecter et d'éviter les possibles obstacles. "C'est l'un des défis que nous comptons résoudre le plus vite possible", affirme Rodin Lyasoff, en charge de l'équipe travaillant sur sa conception.

Mais un projet encore plus fou est dans les tuyaux d'Airbus: un taxi volant. Depuis 2014, la filiale Airbus Helicopters planche en effet sur CityAirbus, un appareil électrique qui avec ses hélices ressemble à un drone.

S'il apparaît anodin de prime abord, ce véhicule pourra, contrairement au "Vahana", transporter plusieurs passagers en pleine ville, comme un "vrai' taxi. Dans un premier temps, Airbus prévoit de lui affecter un pilote "pour pouvoir entrer rapidement sur le marché". Mais à plus long terme, il deviendra lui aussi un véhicule autonome, profitant des avancées technologiques du "Vahana".

Le prix d'un taxi actuel

Airbus en dit encore assez peu sur CityAirbus. Mais il semblerait que l'utilisateur pourra réserver une place dans ce "taxi volant" via une application et diviser également la note avec les autres passagers à bord, de sorte à ce que, in fine, le prix revienne plus ou moins à celui d'une course de taxi actuel.
Certaines questions sur ce projet sont évidemment encore en suspens. Il s'agit notamment de "savoir comment ces véhicules pourront communiquer entre eux ou comment être surs qu'ils ne seront pas piratés", reconnaît Marius Bebesel, d'Airbus Helicopters, qui assure toutefois que tout Airbus Group est mis à contribution pour tenter de répondre à ces problématiques.

Un marché potentiel énorme

Si le projet a des allures de décors du Cinquième élément (le film de Luc Besson) Airbus le prend très au sérieux. "Je ne suis pas un fan de Star Wars mais il n'est pas fou de penser qu'un jour nos grandes villes auront des voitures volantes qui circuleront dans les airs. Ainsi, dans un futur proche, nous utiliserons nos smartphones pour réserver une place dans des taxis volants complètement autonomes et qui atterriront juste devant notre porte d'entrée. Et tout ça sans pilote", affirme ainsi Tom Enders, le grand patron d'Airbus, dans Forum.

L'avionneur pense surtout que le CityAirbus va lui offrir de très belles perspectives. "Ce marché va se développer rapidement dès lors que nous arriverons à déployer les premiers véhicules dans les très grandes villes et que nous aurons démontré les bénéfices de ce mode de transport, calme, sans émission polluante, avec un prix compétitif", considère Jörg Müller, responsable du département Corporate developpement d'Airbus.

Et ce dernier de conclure: "Si vous regardez les besoins en transports pour les voyages professionnels, notamment entre les aéroports et les quartiers d'affaires, vous vous apercevez que la demande potentielle équivaut à environ 100 fois la production annuel d'Airbus Helicopters (un peu moins de 500 hélicoptères, ndlr). Et cela suppose de ne remplacer qu'un taxi sur cinq au sol!".

vendredi 19 août 2016

Un patch connecté pour faire barrière aux UV

Un patch connecté pour faire barrière aux UV

Comme un tatouage intelligent, My UV patch est un capteur qui capte et enregistre l'exposition aux UV, une fois collé sur la peau. Connecté au smartphone, il donne de précieux conseils personnalisés pour bien se protéger du soleil en fonction des doses d'UV reçues et du type de peau.



Ce capteur électronique de contrôle des UV deviendra pour sûr un accessoire indispensable du vanity de plage et plus largement des vacances. My UV patch se pose sur la peau comme un tatouage et résiste à l'eau. Léger, discret et joli, cette sorte de seconde peau vous suit à la plage et dans vos baignades. Sous son apparence de bijou, ce patch joue en fait le rôle de coach personnel et de sensibilisation au soleil. Sa mission : vous inciter à adopter la bonne attitude face au soleil en analysant les doses d'UV reçues par votre peau.

Comment ça marche ? Les carrés du patch contiennent des colorants photosensibles qui changent de couleur en fonction de la dose d'UV reçue. Les couleurs qui indiquent les différents degrés d'exposition au soleil sont ensuite analysées grâce à un algorithme qui tient compte des données personnelles de l'utilisateur.

Un coach personnalisé pour bien cohabiter avec le soleil

Pour cela il suffit de prendre en photo le patch avec son smartphone et de télécharger au préalable l'application My UV patch.
Après avoir renseigné son profil (type de peau, localisation, météo, etc), l'utilisateur qui a photographié le patch reçoit plusieurs informations pour savoir quel comportement adopter face au soleil ; des messages personnalisés envoyés quand il est temps de remettre sa protection solaire; des conseils pour choisir sa crème solaire .

Ce "tatouage anti UV" peut être porté par les peaux mêmes sensibles . Pratique, il peut se garder pendant trois jours et il est possible de dormir, de se doucher et même d'appliquer de la crème solaire dessus sans l'abîmer.

En France, le patch connecté de La Roche-Posay est disponible gratuitement chez les dermatologues et pharmaciens partenaires de La Roche-Posay. L'application My UV patch est quant à elle disponible sur l'App store et google play.

mercredi 17 août 2016

EN CHINE, LES ÉTUDIANTS SUIVENT DES COURS… DE DRAGUE !

EN CHINE, LES ÉTUDIANTS SUIVENT DES COURS… DE DRAGUE !

Inso­lite En Chine, les étudiants suivent des cours… de drague ! 

Dans une pres­ti­gieuse univer­sité, les jeunes gens inex­pé­ri­men­tés apprennent les tech­niques pour être en couple le plus rapi­de­ment possible, et éviter d'être exclus socia­le­ment. Les conseils du prof peuvent pour­tant paraître archaïques.


Ce n’est en rien une bonne nouvelle, mais le temps des vacances est désor­mais compté. La rentrée approche à grands pas, notam­ment pour les étudiants. Dans les univer­si­tés, c’est déjà la course aux papiers et peut-être même à l’ins­crip­tion aux modules, ces options que dispense chaque filière, avec son lot d’ori­gi­na­li­tés. Et dans le genre origi­nal, un petit coup d’œil sur la Chine est à jeter. Depuis un semestre, la pres­ti­gieuse univer­sité de Tianjin, à 120 km de Pékin, propose des cours très parti­cu­liers. 800 étudiants s’y sont inscrits, ce qui souligne l’in­té­rêt pour la matière. Face aux soucieux, un profes­seur ensei­gne… la drague. Et ses leçons n’ont rien de léger. C’est même plutôt sérieux : Ce module permet de gagner de précieux points en vue de l’ob­ten­tion de son diplôme. Voire un peu plus, si on est très appliqué…

L'amour n'a plus rien de roman­tique

L’uni­ver­si­taire chargé de cet ensei­gne­ment inti­tulé « Théo­rie et pratique de la rela­tion amou­reuse » s’ap­pelle Xie Shu. Ce jeune homme de 28 ans enseigne en temps normal le marxisme et le léni­nisme. Profi­tant d’un relâ­che­ment des mœurs dans la très puri­taine Chine, il a su viser juste en exploi­tant ce filon impor­tant. Car la notion d’amour dans l’un des plus grands pays du globe revêt une signi­fi­ca­tion sociale très parti­cu­lière, aux anti­podes du monde occi­den­tal. Il s’agit moins de roman­tisme que de réus­site sociale. Les Chinois consi­dèrent qu’ils réus­sissent leur vie lorsqu’ils ont de l’argent, une bonne situa­tion profes­sion­nelle et qu’ils sont mariés. Or, la pres­sion scolaire tend à s’ac­croître sur les étudiants du pays, qui passent de plus en plus de temps la tête dans leurs livres, et fata­le­ment, moins tour­née vers leurs désirs. Face au « problème » de plus en plus récur­rent du céli­bat, l’uni­ver­sité tente désor­mais de les accom­pa­gner dans la quête d’une vie à deux.

Être céli­ba­taire en Chine revient à être exclu socia­le­ment

Ces cours visent en l’oc­cur­rence des géné­ra­tions d’étu­diants issues de la poli­tique de l’en­fant unique. Les adoles­cents qui suivent le cours de drague du profes­seur Shu sont donc souvent des jeunes gens inex­pé­ri­men­tés sur le plan senti­men­tal, et qui n’ont ni frère ni sœur. Parfois moins préoc­cu­pés par leur réus­site scolaire que par leur céli­bat, leur objec­tif est d'éviter les raille­ries, dans un pays ultra-conser­va­teur sur le plan social, où la notion de famille est primor­diale. Parfois, il en va même de l’hon­neur de l’in­di­vidu. Les filles qui passent le cap des 25 ans sont surnom­mées « Chang nu », comprendre « les filles qui restent ». Ce qui induit de fait une forme d’ex­clu­sion sociale. Autre preuve qu’on ne lésine pas sur la ques­tion, Shan­ghai a par exemple son marché aux céli­ba­taires. Ainsi, chaque semaine, des parents se réunissent dans un parc pour trou­ver un copain ou une copine à leur enfant, à l’aide de pancartes décri­vant son âge, sa taille et ses hobbies. Ca va loin !

« Les filles, passez-vous la main dans les cheveux ! »

Et donc, pour ceux qui veulent se prendre en main eux-mêmes, il y a désor­mais la solu­tion de la Fac. Mais au fait, qu’ap­prend-t-on dans les cours de drague ? Disons-le clai­re­ment : ça se résume à de gros clichés. D’un côté, les garçons doivent surtout se montrer galants. Ce serait la clé de la réus­site pour char­mer une fille. Par exemple, il faut abso­lu­ment la servir en premier quand on est à table. On leur enseigne aussi à « soigner leur look ». « Débar­deurs et shorts larges » sont donc pros­crits. Parmi les autres petits conseils : ne pas être « arro­gant » et éviter de trop ques­tion­ner l’élue de son cœur. 


Du côté des filles, on appuie sur l’im­por­tance d’être sédui­sante, en utili­sant notam­ment le langage corpo­rel. « Passez-vous la main dans les cheveux », exhorte le profes­seur Xie Shu, convaincu de ses conseils bien person­nels. Et puis, le nec plus ultra d’une fille qui plaît : « manier l’hu­mour ». Homme qui rit, à moitié dans… Ah non, pas de dicton sur le sexe ! L’objec­tif n’est pas d’ai­der à « conclure ». « On n’ap­prend pas aux étudiants à s’em­bras­ser, mais à briser la glace et bien commu­niquer avec le sexe opposé », indique Xie Shu. Telle est donc la saine visée de son cours sur l’amour.

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Pourquoi les touristes mettent des chaussettes dans leurs sandales?

Pourquoi les touristes mettent des chaussettes dans leurs sandales?

C’est sans doute le plus grand mystère qui plane sur les plages et les sites touristiques depuis des décennies. Signe de ralliement de membres d’une organisation secrète ? Conspiration mondiale contre le bon goût ? Stigmates d’un enlèvement par des extraterrestres ? Jamais aucune explication rationnelle n’a été apportée à ce phénomène : pourquoi les touristes mettent-ils des chaussettes dans leurs sandales ?


Exemple de chaussettes dans les sandales.

Heureusement, 20 Minutes ne recule devant aucune enquête, aussi compliquée et risquée soit-elle. Nous nous sommes rendus dans les quartiers les plus sensibles de la capitale : le champ de Mars, la tour Eiffel, le Sacré-Cœur, la place du Tertre. Des « no go zones » pour tout Parisien qui se respecte, en premier lieu pour les fashionistas qui risquent l’apoplexie à chaque paire de Crocs croisée. Faisant fi des ballerines déformées, des tongs aussi sales que le trottoir et des espadrilles déglinguées, nous sommes partis calepin au poing rencontrer les hommes à chaussettes.


Première explication : « Il fait un peu frisquette »

Après une demi-heure passée les yeux braqués au sol, pire qu’un fétichiste à un défilé Louboutin, le premier constat est clair : la chaussette-nu-pieds ne court pas les rues. Au pied de la tour Eiffel, seulement trois touristes ont fait ce choix audacieux. Parmi eux, un seul a accepté de nous répondre : Mike*, venu des Etats-Unis, explique qu’il fait « un peu frisquette » pour lui en ce lundi 8 août. A sa décharge, la météo parisienne nous gratifie d’un 18°C assez mesquin. Mais alors pourquoi mettre des chaussures ouvertes ? Le mystère reste entier et Mike s’enfuit, emportant son secret avec lui.

Force est de constater que le phénomène des chaussettes-tongs est exclusivement masculin. Pourquoi ? Parce que les hommes mettent rarement six paires de chaussures dans leur valise pour 15 jours de vacances. Lorsque la météo change, ils enfilent fièrement leurs tongs comme si de rien n’était. Jusqu’au moment où un de leurs orteils devenu bleu menace de tomber comme un bout de banquise. Résultat : on sort les chaussettes. L'hypothèse d'une société secrète, de mèche avec l'ordre des pantacourts et la confrérie des espadrilles pour mettre un point final à la classe et la distinction partout dans le monde, s'éloigne au fil de notre enquête.

Seconde explication : « Je suis en jean »

Qui aurait pu croire que l’argument MODE pourrait être avancé pour justifier ce « fashion faux-pas » absolu ? Boris*, touriste russe aux splendides chaussettes bleu ciel, explique le cercle vicieux qui l’a entrainé dans les profondeurs de la beaufitude : « J’arrive du Sud de la France et je n’ai pas d’autres chaussures. Ici, j’ai froid alors j’ai mis les chaussettes ». Jusque-là, ça se tient. « Mais c’est aussi parce que je porte un jean. Si j’avais été en short, je n’aurais pas mis les chaussettes ». Une logique imparable.

En faisant un rapide sondage visuel sur un échantillon non représentatif des touristes à Paris, le chaussage des visiteurs se répartit de la sorte : 70 % de baskets-tennis-sneakers en tous genres, 20 % de chaussures de rando d’été, 5 % de tongs au sens « propre » du terme et 5 % autres (ballerines, sandales, crocs, mocassins,…). Il semble que l’Europe de l’Est soit la plus prompte à glisser des chaussettes dans ses sandales : « C’est dans la culture », me dira une jeune Ukrainienne dont le papa, qui porte des chaussettes noires dans des nu-pieds, a fui nos questions comme s'il avait quelque chose à cacher. Des pieds palmés ou à écailles sous ses chaussettes noires ? Qui sait...

Troisième explication : « J’ai des ampoules »


L'idée que des êtres aux pieds étranges se baladent incognito fait froid dans le dos. N'écoutant que notre courage, nous abordons Pablo*, un Espagnol en goguette à Paris avec un ami britannique. Il reconnaît ainsi avoir mis des chaussettes « pour éviter les frottements, sinon j’ai des ampoules ». Pablo semble gêné par notre question, un peu honteux. Son ami anglais rigole. « On lui en a parlé, de ses chaussettes », sourit-il. Il semble que l’Espagnol ait déjà essuyé quelques remarques sarcastiques. « Il a l’air encore plus Anglais que moi, comme ça ! », blague le (perfide) ami british. Et si on faisait plutôt preuve d’un peu de compassion pour ces pauvres touristes exposés au froid du mois d’août (sic), aux Parisiens mal embouchés, aux vendeurs à la sauvette collants, aux odeurs du métro et aux croque-monsieur rassis à 17 euros ? Ils ont droit, eux aussi, à un peu de réconfort pédestre. Et ils donnent au moins une bonne raison de rigoler aux Parisiens coincés au boulot en août.

*Les prénoms ont été modifiés afin d’être vraiment caricaturaux

lundi 15 août 2016

"Poketourisme" : devenez guide expert en Pokemon Go !

"Poketourisme" : devenez guide expert en Pokemon Go !  


Début août, une société espagnole a publié une annonce pour recruter des experts Pokemon Go. La mission est de servir de guide à d'autres joueurs en les emmenant en autocar chasser les monstres virtuels. Déjà plus de 2000 candidatures ont été envoyées.

Visiter un pays tout en chassant les Pokémon. C'est ce que propose aux touristes la société espagnole Junior Travel, basée à Grenade. En quelques jours, plus de 2.000 experts Pokémon Go ont répondu à une annonce publiée le 4 août par l'agence pour devenir guide de groupes accros au jeu vidéo.

18 à 43 euros par jour

Junior Travel propose d'emmener des groupes de 25 ou 30 "dresseurs" en autocar, ailleurs que dans leur ville de résidence, accompagnés par des moniteurs chargés de les guider. Chacun des joueurs paye 18 à 43 euros par jour pour partir "capturer" les monstres virtuels sur leurs Smartphones.

Cet accompagnement rapporte en moyenne 30 euros par jour aux guides, dans un pays qui présente toujours un taux de chômage supérieur à 20%. Mais ces missions ne sont pas ouvertes à tous. En effet, il faut impérativement avoir atteint le niveau 20 sur les 40 du jeu.

"Trois ou quatre candidatures à la minute "

L'annonce a été accueillie avec un très grand enthousiasme. "On reçoit trois ou quatre candidatures à la minute. Le garçon qui s'occupe des ressources humaines est un peu débordé", a déclaré lundi à l'AFP Antonio Barragan, le gérant du tour-opérateur.

D'autres entreprises espagnoles entendent tirer profit de ce "pokétourisme". La société Felices Vacaciones propose sur son site web un circuit de "safari Pokemon Go" aux Etats-Unis, comprenant 11 nuitées pour 1.695 euros, passant par Las Vegas, San Francisco ou New York.


jeudi 11 août 2016

Du wifi gratuit dans le métro parisien !

Du wifi gratuit dans le métro parisien !

Bonne nouvelle ! Du wifi gratuit dans le métro parisien

Bonne nouvelle ! La RATP a installé des bornes offrant du wifi gratuit dans les stations les plus importantes du métro parisien.




Marre de ne plus pouvoir surfer sur le net quand vous prenez le métro le matin ? Et bien ce n'est désormais plus qu'un mauvais souvenir ! La RATP a installé depuis début juillet des bornes offrant du wifi gratuit dans les plus grandes stations du métro parisien : les gares de Lyon, du Nord et Saint-Lazare, Charles de Gaulle Etoile, Porte Maillot, Chaussée d’Antin et Gallieni pour le sous-terrain; La Défense, Auber, Cité U et Marne-la-Vallée - Chessy pour le RER. Vous pourrez désormais tenter de rattraper le dresseur français qui a attrapé tous les Pokemon sans aucune restriction.


Ce "service gratuit et sans inscription, accessible depuis un smartphone, une tablette ou un ordinateur portable" est disponible pendant 20 minutes et reprend le même principe que toutes les autres entités proposant du wifi gratuit : la sélection du réseau - ici "RATP gratuit" - et l'acceptation des conditions générales d'utilisation. Un clic de validation et vous pourrez désormais naviguer en français et en anglais pendant le temps imparti ! Et on vous promet ce n'est pas une blague de la RATP qui avait renommé des stations de métro pour le 1er avril, c'est une vraie - bonne - nouvelle !

mercredi 10 août 2016

Ne portez plus de Crocs, c'est mauvais pour la santé

Ne portez plus de Crocs, c'est mauvais pour la santé

Le Crocs n'ont pas toujours fait l'unanimité et bien que ces chaussures soient confortables, elles sont mauvaises pour la santé. 



Autrement dit, n'en portez plus. La mode, c'est avant tout une question de subjectivité. Vous savez ce qu'on dit ; les goûts et les couleurs... mais lorsqu'il s'agit des Crocs, force est de constater que ce n'est pas non plus ce que l'on fait de plus tendance. Alors effectivement, elles sont confortables. Mais... elles sont surtout moches. Bonne nouvelle pour tous ceux qui les ont en horreur, en plus d'être peu saillantes, elles seraient mauvaises pour la santé. Le magazine GQ, relaie une interview publiée dans le HuffPost attestant que "malheureusement, les Crocs ne sont pas adaptées à un usage quotidien". Celle qui le dit, c'est le docteur Megan Leahy.

"Quand le talon est instable, les orteils peuvent causer une tendinite. Elles peuvent aussi causer une difformité des orteils, des problèmes d’ongles, l’apparition de corne et de callosités. La même chose peut arriver avec des tongs", poursuit-elle. Et pour ne rien arranger, Alex Kor (président de l’Académie américaine de médecine du sport podologique) explique que "les seules personnes pour qui il est bénéfique de porter des Crocs sont celles qui ont une haute voute plantaire ou ceux qui souffrent d’un œdème aux jambes et aux chevilles. Mais on ne peut en aucun cas suggérer de porter des Crocs 8 à 10 heures par jour". Pour résumer, les Crocs ne sont absolument pas à la mode, elles divisent le monde et pour finir, elles sont mauvaises pour votre santé. Un conseil, si vous en avez, jetez-les !

mardi 9 août 2016

Les jeux vidéo seraient bénéfiques pour les résultats scolaires !

Les jeux vidéo seraient bénéfiques pour les résultats scolaires !

Les parents leur font la guerre et pourtant, les jeux vidéos auraient des vertus que nous ne soupçonnons pas forcément. La science le dit, ils seraient utiles aux révisions !


Généralement, on peut toujours compter sur la science et ses chercheurs pour prouver tout et n'importe quoi. Par exemple, il a été scientifiquement prouvé que nous ne pouvions pas avoir plus de cinq véritables amis. C'est un peu déprimant, on vous l'accorde. Du coup, il fallait bien trouver quelque chose pour se remonter le moral. Et si nous attestions que les jeux vidéos rendaient plus intelligent ? Certains clament à tout bout de champ que ces mondes virtuels et parfois barbares nous grillent plus de neurones qu'autre chose, et pourtant...!


Ainsi, une étude australienne atteste que les enfant jouant plus aux jeux vidéos que les autres ont de meilleurs résultats en science, en maths et en lecture. Cette étude se base sur les performances de jeunes âgés de 15 ans dans les évaluations Pisa (Programme international sur le suivi des acquis des élèves de l'OCDE), comme le soulignent nos confrère d'Europe 1. Or, "l'analyse montre que les enfants qui utilisent régulièrement les réseaux sociaux en ligne comme Facebook tendent à obtenir des résultats moins élevés en maths, en lecture et en sciences que les étudiants qui ne consultent jamais ou presque jamais ces sites". Par contre, "l'étude montre que les étudiants qui jouent à des jeux vidéo en ligne obtiennent de meilleurs scores aux tests Pisa, toutes choses étant égales par ailleurs." Après, il ne faut pas non plus tout miser sur les jeux. En effet, ils ne font qu'aider les joueurs à mettre en pratique ce qu'ils ont vu à l'école. Autrement dit, l'un ne va pas sans l'autre. En même temps, lorsqu'il faut résoudre des problèmes logiques ou faire fonctionner ses méninges pour élaborer une stratégie, on est bien content d'avoir passé quelques années sur les bancs de l'école.

lundi 8 août 2016

Ce pont en verre à 300 mètres du sol va vraiment vous donner le vertige !

Ce pont en verre à 300 mètres du sol va vraiment vous donner le vertige !

Attention vertige ! Le plus long pont en verre a ouvert en Chine : mesurant 430 mètres, il plane à 300 mètres au-dessus du sol.




Après le saut en parachute sans parachute, de Luke Aikins voici le pont sans fond ! De toute évidence les gens - inconscients ? - aiment de plus en plus les sensations fortes et la Chine l'a bien compris ! Elle a fait construire dans la Province du Hunan un pont en verre d'une longueur de 430 mètres - le plus long au monde - accroché à 300 mètres au-dessus. Inutile de dire qu'il faut avoir le cœur bien accroché pour se lancer dans la traversée en ayant vue sur le canyon juste en dessous !


Pour rassurer les futurs badauds qui voudraient s'aventurer sur ce pont pas comme les autres, des tests insensés ont été effectués devant les yeux éberlués des journalistes venus des quatre coins du monde. Ainsi des employés de la société de construction et une vingtaine de bénévoles sont venus frapper le pont à grands de massue et y ont même fait rouler une voiture. Et si le premier panneau de verre s'est fissuré, les couches inférieures sont, elles, toutes restées intactes ! Sans doute que les fous d'adrénaline qui ont dévalé ce toboggan situé à 300 mètres du sol trouveront ce pont banal, mais nous, il nous impressionne !

dimanche 7 août 2016

Comment passer de vraies vacances quand on est accro au boulot?

Comment passer de vraies vacances quand on est accro au boulot?

Une coupure est bénéfique, même pour ceux qui sont accros à leur boulot.


Si certains comptent les jours qui les séparent de leur séjour sur la côte, d'autres voient leur angoisse monter au fur et à mesure que la date approche. Se déconnecter du boulot? Mission impossible pour les workaholics. Voici quelques conseils pour gérer en douceur cette coupure.

A quoi reconnaît-on les accros aux boulots? Ce sont les seuls salariés à qui la perspective des vacances donne des sueurs froides. Pourtant, ils n'ont pas le choix, ils vont devoir lâcher leurs précieux clients ou leurs dossiers adorés pour partir s'aérer ailleurs et recharger leurs batteries.
Mais pour éviter que cette trêve estivale ne se transforme en période de crise pour le workaholic -et son entourage qui va devoir supporter des sautes d'humeur liées à son sevrage du boulot- mieux vaut se préparer quelques jours avant. Voici quatre conseils pour des vacances sereines.

1. Faire le point avant de partir

L'acharné du boulot est souvent de nature angoissée. Savoir qu'au cours du mois d'août, il ne va pas se passer grand-chose, suffit rarement à le rassurer. A quelques jours du "grand saut", dressez une liste des choses à faire avant de partir. Faites le tour des dossiers en cours et mettez une touche finale à ceux qui ne peuvent attendre votre retour. Et mettez de côté sans hésiter ceux qui attendront septembre.

2. Passer le relais

Pour les dossiers et projets qui nécessitent un éventuel suivi en votre absence, passez le témoin à vos collègues déjà revenus de vacances ou bien à votre manager en leur donnant toutes les instructions nécessaires. Informez aussi vos contacts extérieurs de votre absence en leur envoyant un mail pour leur indiquer vos dates de vacances et le nom de la personne à contacter. Il faut aussi penser à rédiger le message d'absence de votre messagerie.

3. S'imposer une déconnexion

Sauf si vous êtes partis à l'autre bout du monde, il y a fort à parier qu'une connexion Wifi ou mobile soit à portée de votre smartphone. Il faut pourtant résister à la tentation de le consulter tout au long de la journée et ne surtout pas culpabiliser en pensant aux éventuelles urgences que vos collègues ont à traiter sans vous.

Le mieux est de laisser son mobile dans un tiroir et s'imposer une plage horaire où vous pourrez y jeter un œil. Et pendant le reste du temps, il faut se donner à fond dans des activités qui vous plaisent pour régénérer votre corps et votre esprit, gage d'une plus grande productivité et créativité à votre retour

4. Opter pour une reprise tranquille

Enfin, vous êtes de retour au boulot! Mais il ne faut pas vouloir tout reprendre en main dès le premier jour. Au contraire, il faut reprendre le rythme tranquillement et ne pas s'imposer des journées de 12 heures sitôt revenus de vacances. Tant pis si votre boite mail compte de nombreux messages en attente, On considère qu'il faut en général s'octroyer une semaine pour se réadapter.

jeudi 4 août 2016

Ils vont traverser la Manche en sous-marin à pédales

Ils vont traverser la Manche en sous-marin à pédales 

Deux ingénieurs, dont un chef d'entreprise toulousain, vont s'élancer du 5 au 12 août dans une traversée inédite de la Manche à bord d'un sous-marin à pédales...


Michael de Lagarde et Antoine Delafargue vont traverser la Manche en sous-marin à pédales.
Ils vont devoir se supporter durant une semaine et ne compter que sur leurs mollets. Deux ingénieurs vont tenter de traverser la Manche dans un sous-marin à pédales, conçu spécialement pour ce défi digne du professeur Tournesol.

Bijou technologique

Du 5 au 12 août, ces deux aventuriers vont s’élancer de Plymouth dans un drôle d’engin pour rallier Saint-Malo, à l’occasion de la mort de Louis Blériot, le premier pilote à avoir traversé la Manche en avion. Cette expédition, baptisée Poisson Pilote et en préparation depuis huit ans, est sponsorisé et réalisée avec le soutien de l' entreprise toulousaine Delair-Tech, un des leaders mondiaux du drone professionnel.


« Nous allons pédaler plus de 18 heures par jour pendant sept jours, en suivant le fond jusqu’à 100 mètres de profondeur, explique Michael de Lagarde, cofondateur et président de Delair-Tech, qui réalisera cet exploit avec Antoine Delafargue, son ami rencontré lors de ses études à l’école Polytechnique. Nous allons évoluer dans un espace de moins de 2 m3 où il faudra gérer notre effort physique, la pression de l’eau et l’oxygène ». 

La dépense calorique journalière individuelle des ingénieurs sera équivalente à celle d’un cycliste lors d’une étape du Tour de France. Depuis plusieurs mois, les deux acolytes se préparent donc physiquement à ce défi en effectuant 5 à 10 heures de vélo par semaine, ainsi que de la marche à pied et en montagne.

Exploration scientifique

Premier sous-marin à propulsion humaine autonome, cet objet submersible non identifié est pressurisé et capable de descendre à 300 mètres de profondeur. Ce bijou de technologie pourra également explorer les fonds marins. Le système GPS n’étant pas disponible sous l’eau, la société Delair-Tech a notamment développé pour ce projet inédit un système basé sur de la navigation inertielle et un loch optique. 

« Le sous-marin ne faisant pas de bruit, nous espérons observer la faune et la flore, précise Michael de Lagarde. Grâce à une caméra pointée vers le bas, nous pourrons prendre des photos du sol toutes les secondes. Via un algorithme spécifique, le déplacement du sous-marin par rapport au sol sera calculé, permettant de nous diriger ». Les deux aventuriers seront assistés dans leur traversée par deux bateaux suiveurs qui tracera le sous-marin en temps réel afin de prévenir les risques de collision, en particulier avec les chaluts abandonnés.

mercredi 3 août 2016

Australie : de religion Jedi, tu ne seras point

Australie : de religion Jedi, tu ne seras point

Le 9 août aura lieu le grand recensement quinquennal australien qui prend en compte, notamment, les appartenances religieuses. A ce sujet, la Fondation athée d'Australie s'inquiète de la montée de la "religion" Jedi qui fausse les chiffres officiels.


L'Australie est un pays où règne le culte de la Force. En vue du prochain recensement quinquennal qui aura lieu le 9 août, la Fondation athée d'Australie exhorte les facétieux citoyens à ne pas répondre, arrivés à la 19è question, que leur religion est "Jedi". Cette vieille blague a pour conséquence de faire apparaître leur pays plus religieux qu'il ne l'est vraiment.

Le jediisme est un mélange de taoïsme et de bouddhisme. Cette philosophie partage également les aspects spirituels de certains arts martiaux. La plupart des Jedi suivent les règles du Code Jedi, basé sur l'idéologie de Star Wars.

Religion : "Chevalier du Jedi"

Lors du recensement de 2001, plus de 70.500 personnes avaient répondu à la question sur l'appartenance religieuse en inscrivant : "Chevalier du Jedi". "Cela avait lancé un phénomène mondial", avait indiqué en 2013 le Bureau australien des statistiques (ABS). La Nouvelle-Zélande, le Canada, l'Angleterre ou encore le Pays de Galles s'étaient par la suite découverts d'importants contingents "Jedi". D'après Kylie Sturgess, présidente de la Fondation athée d'Australie, "cette blague renvoie à un email qui avait affirmé à tort il y a plusieurs années que si 8000 personnes se déclaraient "Jedi", l'Etat devrait reconnaître cette religion".

Et l'engouement pour cette nouvelle tendance n'a pas disparu. En 2006, 58.053 Australiens s'étaient présentés comme Jedi. Au recensement de 2011, ils étaient 64.390. Mais ce canular est devenu un problème car "l'ABS ne compte pas les Jedi, il les intègre dans la catégorie : religion non définie". Et les Jedi forment désormais à eux seuls plus de la moitié de cette classe. Cela a pour conséquence de présenter l'Australie comme plus religieuse qu'elle ne l'est en réalité et pousse l'administration à allouer plus d'argent qu'elle ne le devrait à la gestion des cultes, dans un pays où la proportion d'athées est passée de 13 à 19 % entre 1991 et 2006.

Une campagne contre les Jedi

La Fondation athée d'Australie cherche donc à endiguer ce phénomène. Pour cela, elle a lancé une campagne d'affichages rappelant aux Australiens qu'ils doivent cocher la case "sans religion", s'ils considèrent qu'ils n'en ont aucune. "Si vous considérez que les vieux religieux en soutane ne vous représentent pas, n'écrivez pas que vous êtes un Jedi", peut-on lire sur une affiche où figurent l'éminent maître Yoda, issu de la saga Star Wars.
Chris Brennan, fan invétéré de la série, explique au Brisbane Times : "Certaines personnes inscrivent Jedi pour faire un pied de nez au gouvernement (...) mais d'autres considèrent cette croyance comme un engagement sérieux".